___*Anouck Durand-Gasselin
anouckdg@hotmail.fr
comptes facebook et instagram : anouck_durand_gasselin
Née en 1975, Anouck Durand-Gasselin vit et travaille à Paris, à Toulouse et en Ardèche.
Anouck Durand-gasselin approfondit ses recherches récentes autour de la création en compagnonnage avec le règne des fungis, débutée en 2007. Ainsi ses oeuvres sont autant la mise en scène de différents dispositifs de myci-culture et de cueillettes que les formes produites par et avec le champignon lui-même qui peut-être séché, consommé ou sporulé. Ainsi images, performances culinaires et installations s’inscrivent dans une tentative de produire un geste artistique circulaire et un art dit « écologique ».
En 2007, Anouck Durand-Gasselin ré-interroge les fondamentaux de l’image en provoquant un phénomène naturel : la sporulation du champignon. La rencontre avec les fungis marque alors un tournant décisif. Entre poésie, science et myci-culture s’ouvre alors l’espace possible d’un décentrement et d’un dialogue avec une espèce non-humaine.
Tout d’abord photographe, Anouck Durand-Gasselin trouve son inspiration dans la forêt avec la cueillette et la marche. Les éléments trouvés ou rapportés (tapis, champignons, bois de cerf ou encore paillettes de mica) font l’objet d’attentions soutenues et de manipulations variées : moulage en plâtre, sporulation, dessication, ou cultures. Différents dispositifs de création méthodiques voire scientifiques et aussi agricoles permettent d’atteindre le coeur de la matière et la profondeur du regard. L’enjeu est absolument celui de l’image et de l’imaginaire. Hasard, observation et connaissance du vivant constituent le champ de son expérience animé par la volonté d’un certain réenchantement.
Ses oeuvres font l’objet d’expositions en France et à l’étranger : au centre d’art contemporain de Malakoff pour les expositions Eco-luttes en 2024 et Couper les fluides en 2023 ; à la biennale d’art et design de St Etienne en 2022, au Musée Denys Puech à Rodez en 2020, en Chine à l’Académie des Sciences de Dunhuang en partenariat avec le Musée de l’Homme en 2019, au Centre Art Bastille à Grenoble invitée par Cécile Beau en 2017. Elle participe à la première Biennale de l’image Tangible à Paris en 2018.
La Galerie ALB a exposé ses recherches avec notamment en 2016 l’exposition personnelle Tamogitake, en 2012 l’exposition personnelle Collections soutenue par le CNAP et de nombreuses
expositions collectives et foires dont Fotofever en 2019.
C’est en 2010, invitée par le Centre d’art contemporain La Chapelle St Jacques à St Gaudens, qu’ Anouck DG développe pour la première fois sa recherche sur les sporées „sous un tapis de feuille ou dans un prés vert et plutôt le matin“.
Depuis 2012, Anouck Durand-Gasselin est enseignante à l’Ecole des arts de la Sorbonne, où elle est également responsable du laboratoire argentique depuis 2019. Depuis 2023, elle enseigne à l’Université Toulouse Jean-Jaurès 2.
En 1999, Anouck DG obtient un DNSEP à l’Ecole des Beaux-Arts de Toulouse. Elle multiplie les expositions avec notamment en 2006 Paeredeieza au Centre d’art Contemporain de Colomiers et Point de fuite en 2004 à la Fondation pour l’Art Contemporain de la Caisse d’Epargne de Toulouse. Elle a animé également de nombreux ateliers artistiques en collaboration avec les centres d’art le BBB, le Musée Calbet et le centre Photographique de Lectoure. Elle a donné des formations à l’IUFM Midi-Pyrénées. *_
anouckdg@hotmail.fr
comptes facebook et instagram : anouck_durand_gasselin
Née en 1975, Anouck Durand-Gasselin vit et travaille à Paris, à Toulouse et en Ardèche.
Anouck Durand-gasselin approfondit ses recherches récentes autour de la création en compagnonnage avec le règne des fungis, débutée en 2007. Ainsi ses oeuvres sont autant la mise en scène de différents dispositifs de myci-culture et de cueillettes que les formes produites par et avec le champignon lui-même qui peut-être séché, consommé ou sporulé. Ainsi images, performances culinaires et installations s’inscrivent dans une tentative de produire un geste artistique circulaire et un art dit « écologique ».
En 2007, Anouck Durand-Gasselin ré-interroge les fondamentaux de l’image en provoquant un phénomène naturel : la sporulation du champignon. La rencontre avec les fungis marque alors un tournant décisif. Entre poésie, science et myci-culture s’ouvre alors l’espace possible d’un décentrement et d’un dialogue avec une espèce non-humaine.
Tout d’abord photographe, Anouck Durand-Gasselin trouve son inspiration dans la forêt avec la cueillette et la marche. Les éléments trouvés ou rapportés (tapis, champignons, bois de cerf ou encore paillettes de mica) font l’objet d’attentions soutenues et de manipulations variées : moulage en plâtre, sporulation, dessication, ou cultures. Différents dispositifs de création méthodiques voire scientifiques et aussi agricoles permettent d’atteindre le coeur de la matière et la profondeur du regard. L’enjeu est absolument celui de l’image et de l’imaginaire. Hasard, observation et connaissance du vivant constituent le champ de son expérience animé par la volonté d’un certain réenchantement.
Ses oeuvres font l’objet d’expositions en France et à l’étranger : au centre d’art contemporain de Malakoff pour les expositions Eco-luttes en 2024 et Couper les fluides en 2023 ; à la biennale d’art et design de St Etienne en 2022, au Musée Denys Puech à Rodez en 2020, en Chine à l’Académie des Sciences de Dunhuang en partenariat avec le Musée de l’Homme en 2019, au Centre Art Bastille à Grenoble invitée par Cécile Beau en 2017. Elle participe à la première Biennale de l’image Tangible à Paris en 2018.
La Galerie ALB a exposé ses recherches avec notamment en 2016 l’exposition personnelle Tamogitake, en 2012 l’exposition personnelle Collections soutenue par le CNAP et de nombreuses
expositions collectives et foires dont Fotofever en 2019.
C’est en 2010, invitée par le Centre d’art contemporain La Chapelle St Jacques à St Gaudens, qu’ Anouck DG développe pour la première fois sa recherche sur les sporées „sous un tapis de feuille ou dans un prés vert et plutôt le matin“.
Depuis 2012, Anouck Durand-Gasselin est enseignante à l’Ecole des arts de la Sorbonne, où elle est également responsable du laboratoire argentique depuis 2019. Depuis 2023, elle enseigne à l’Université Toulouse Jean-Jaurès 2.
En 1999, Anouck DG obtient un DNSEP à l’Ecole des Beaux-Arts de Toulouse. Elle multiplie les expositions avec notamment en 2006 Paeredeieza au Centre d’art Contemporain de Colomiers et Point de fuite en 2004 à la Fondation pour l’Art Contemporain de la Caisse d’Epargne de Toulouse. Elle a animé également de nombreux ateliers artistiques en collaboration avec les centres d’art le BBB, le Musée Calbet et le centre Photographique de Lectoure. Elle a donné des formations à l’IUFM Midi-Pyrénées. *_